Cette année notre histoire se déroule sur l’eau. Au XVIII^ème siècle un intrépide explorateur embarque à la recherche d’une île inconnue figurant sur une carte dont il est le seul possesseur. Au cours du voyage de nombreux dangers vont mettre à l’épreuve le courage et la persévérance du capitaine et de son équipage. Une tempête terrifiante, des pirates armés jusqu’aux dents et un monstre marin vont se mettre sur la route du Titanic, le navire de nos héros.

L’île des oiseaux

La fin du film est un peu abrupte et pour cause : il manque une séquence. Celle-ci donnait son nom au film.
L’explorateur, après que sont navire ait fait naufrage se retrouve seul sur l’île et crie son horreur d’avoir atteint son but mais de s’y retrouver coincé, sans espoir de retour, au milieu des bêtes sauvages. Ce n’est pas la fin qui était prévue. A l’origine le navire devait arriver sain et sauf jusqu’à l’île. D’apparence paradisiaque le lieu devait se révéler finalement inhospitalier puisque abritant une colonie d’oiseaux férocement carnivores. Les uns après les autres, tous les membres de l’équipage finissaient donc dans l’estomac des volatiles.
Hélas, le temps a manqué et nous avons donc été obligés de précipiter le dénouement de l’histoire. De cette première version il ne reste que le titre.